Plus de soixante ans après ses débuts dans l’orchestre de Lionel Hampton, Quincy Jones est toujours aussi avide de rencontres et de découvertes. Sa vie est une incroyable success-story, et pour célébrer la sortie de l’anthologie The Cinema Of Quincy Jones (tracklisting dévoilé très prochainement dans ces pages), Jazz Magazine publie en avant-première un entretien exceptionnel réalisé par Stéphane Lerouge pour le livret du coffret.
« C’était vers 1947-48. J’habitais Seattle, j’avais 14 ans et je séchais les cours pour descendre dans les bas-fonds de la ville passer mes journées au cinéma pour voir des films. Leurs partitions produisaient sur moi l’effet d’une drogue dure » : quelques années plus tard, Quincy Jones signe à son tour des bandes originales de films hollywoodiens et collabore avec les plus grands cinéastes. Son amour du jazz restera plus fort que tout, mais cette parenthèse enchantée a changé sa vie d’homme et de musicien.
Également au sommaire de ce numéro : Retour sur l’aventure du groupe Steps Ahead, un article sur Bobby Hutchertson, Tony Williams dans les années 1970 avec trois disques cultes enfin réédités, le guide All That Jazz 2016-2017, tous les Chocs du mois…
Jazz Magazine n°688. En kiosque le 1er octobre.